Chez Schneider Electric, Air Liquide ou Arkema... Quand la RSE s’invite dans le salaire des cadres - l'Usine Nouvelle

Conditionner la rémunération variable à des critères environnementaux et sociaux séduit toujours plus d’entreprises. L’impact réel de ces indicateurs ne fait pas l’unanimité pour autant.

De plus en plus de cadres et managers intermédiaires pourraient voir une partie de leur rémunération variable conditionnée à des critères de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), notamment environnementaux et sociaux. Les DRH cherchent en effet des solutions pour engager les salariés dans les grandes transformations en cours. L’idée infuse jusque dans les sphères dirigeantes : en 2021, le président du groupe Rocher, Bris Rocher, appelait dans un rapport à soumettre à des critères extra-financiers au moins 20 % de la rémunération variable des salariés.

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Remplacer « une bonne stratégie RSE et les investissements liés » il faut le faire, mais le poids des indicateurs financiers et largement prédominant par rapport aux indicateurs RSE relève Sébastien Crozier, le président de la CFE-CGC d’Orange. L’élaboration d’accords d’intéressement, et l’attribution d’actions gratuites intégrant ces critères permettent aussi de renforcer un peu plus leur poids dans la rémunération variable et managers.
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Lire l'article complet sur l'Usine Nouvelle (abonnés) -  Jonathan Grelier - 26/09/2023 -