PAPRIPACT des Fonctions Corporate
Rédigé par Patricia FRANCKHAUSER le . Publié dans Fonctions Corporate.
- Le Programme Annuel de Prévention des Risques Professionnels et d'Amélioration des Conditions de Travail vise à identifier, prévenir et réduire les risques professionnels tout en améliorant les conditions de travail au sein d’une entreprise ;
- La Direction a présenté en mars dernier un projet aux CSSCT du périmètre (SG, RH, Finance & Performance) qui préparent ensuite, chacune, un rapport :
- Le PAPRIPACT 2025 comporte 13 objectifs stratégiques et risques identifiés portant sur des thématiques de risques psychosociaux (régulation de la charge de travail, harcèlement et violences au travail…), l’organisation des secours ou encore le risque du travail sédentaire ;
- L’année 2025 sera particulièrement marquée par la mise en place d’un Système de Management de la Santé et Sécurité de Travail (SMSST) qui était alors en place uniquement à la SG et qui va être déployé sur toutes les entités « afin de responsabiliser les différentes directions » selon la Direction. Les managers vont être impliqués dans le processus. Un audit conseil avec la société Veritas est en cours pour accompagner la Direction qui donnera ses premières conclusions en septembre prochain. Pour information, un e-learning de 20 minutes sur la norme ISO 45001 est déjà en place ;
- Les élus de la CFE CGC Orange ont rappelé à cette occasion que la diminution des effectifs de prévention avait atteint le seuil critique qui ne permettrait pas de remplir leurs missions dans des conditions acceptables ;
- Les élus CFE-CGC ont voté contre le PAPRIPACT 2025 ;
- CCSCT DRH : Le projet PAPRIPACT intègre désormais la norme ISO 45001, un cadre qui s’appuie sur des données factuelles telles que les procédures et activités de chaque organisation au sein des Fonctions Corporate. Cette approche devrait permettre des analyses plus précises des conditions de travail, des risques professionnels, de la charge de travail, des risques psychosociaux et des violences. En se fondant sur des indicateurs concrets plutôt que sur des moyennes, ces analyses pourraient révéler des situations plus fidèles à la réalité quotidienne des salariés.
