Rédigé par Arnaud Chancerelle le . Publié dans Dans les médias.
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PARIS — L'accord sur la mobilité à France Télécom a été signé par trois syndicats représentant plus de 50% des salariés, tandis qu'un deuxième accord sur l'équilibre vie privée-vie professionnelle a été paraphé par trois organisations non majoritaires représentant plus de 40% des voix.
Ces deux accords, issus des négociations sur le stress à France Télécom, peuvent donc s'appliquer dans l'entreprise, marquée par une série de suicides de salariés.
La limite pour l'application d'un accord est de 30% des voix aux élections professionnelles. Lorsqu'un accord n'obtient pas 50%, il ne s'applique que si la majorité des syndicats non signataires ne s'opposent pas au texte.
Vendredi, la CGT, premier syndicat de France Télécom, a annoncé qu'elle signait les deux accords, la CFE-CGC/Unsa ne signant que le deuxième. FO de son côté a annoncé qu'il ne signait aucun des deux.
Les autres syndicats s'étaient prononcés les jours précédents. Outre la CGT, l'accord mobilité a recueilli l'assentiment de la CFDT et la CFTC.
Le second accord a été signé par la CGT, la CFE-CGC/Unsa et la CFTC.
Les syndicats avaient jusqu'à vendredi pour se prononcer.
Il garantit également une stabilité sur le poste de travail au minimum de 3 ans, et le recours à des solutions alternatives (télétravail, etc.) en cas de mobilité imposée.
L'accord sur les mobilités rend exceptionnels les transferts géographiques de salariés imposés par l'entreprise et limite les mobilités fonctionnelles imposées....
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