Rédigé par JMD le . Publié dans Fonctions Corporate.
Comme le soupçonnait la CFE-CGC, des tractations de couloir entre le MEDEF et la CFDT ont porté à la vice-présidence de l'AGIRC un représentant de la CFDT, au détriment de son candidat, Bernard Van Craeynest, le 31 janvier 2012.
La veille, dans un message aux structures, le président confédéral dénonçait «les petits arrangements entre faux amis».
Il réaffirmait les motifs pour lesquels la CFE-CGC n'a pas signé l'accord du 18 mars 2011, ratifié par la CFDT, la CFTC et FO : «il pénalise les techniciens, agents de maîtrise, ingénieurs et cadres en baissant la revalorisation des pensions AGIRC et en réduisant de 7,4 milliards d'euros les droits des futurs retraités !
Il dégrade le pouvoir d'achat et spolie les familles nombreuses par le plafonnement des majorations familiales !».
Des convictions qu'on fait payer à la CFE-CGC, à l'origine de la création de l'AGIRC en 1947 ! Bernard Van Craeynest s'insurge : «Et l'on voudrait que la CFE-CGC renonce à sa candidature parce qu'elle n'accepte pas ces iniquités ?
Parce qu'elle refuse de renier ses valeurs au service de l'encadrement ?
La confiance des salariés et des retraités dans leurs porte-parole sous entend le courage de dire non.
La CFE-CGC a et aura toujours cette volonté !
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