Cette 3e filiale rattachée à TGI doit consolider notre rôle d’animation d’un pôle technologie et innovation, en France et à l’Etranger, au sein d’Orange.
Cependant ce rattachement suscite au sein de TGI inquiétudes et questionnements.
Les salariés de TGI ont exprimé aux Elus de la CFE-CGC les inquiétudes et questions suivantes :
Est ce que les activités et le poids de SOFRECOM n’accentuent pas encore le tournant de TGI vers un rôle de fournisseur ?
Le nouveau contexte ne remet-il pas en cause le rôle des salariés d’OLS et d’OLN, et leurs activités?
Va-t-on vers une fusion de TGI et de SOFRECOM ? Une phagocytose ?
Dans un contexte assez difficile à date pour le Groupe, et avec en préparation la mise en place de la holding MEA, est-il possible par exemple que les salariés de certains des points de présence de SOFRECOM en Afrique (notamment Marocain ou Tunisien), puissent rejoindre un pôle d’expertise et de services mutualisés auquel nos filiales africaines pourraient avoir recours ?
Les importantes filiales de SOFRECOM au Maroc et en Tunisie, respectivement plus de 500 personnes et près de 1 000 personnes, avec des prix de l’homme-jour environ 4 fois moins élevés qu’en France, ne constituent-elles pas une grave menace de délocalisation progressive, à proximité de la France, dans un univers culturel proche, avec des ingénieurs et cadres souvent formés, au moins en partie, en France, dans les mêmes écoles et universités?
